Oui, tout à fait, je parlais bien des États-Unis. C'est vrai que j'aurais dû le préciser. Pour les taux, c'est une piste intéressante. Je me demande si leur algorithme d'estimation des biens était suffisamment réactif aux fluctuations du marché et si, du coup, ils n'ont pas surpayé certains biens, ce qui expliquerait en partie leurs pertes.
Pour te donner quelques noms, j'ai en tête des économistes comme Roubini, Shiller (même s'il est plus sur le long terme), ou des analystes indépendants qu'on trouvait sur des blogs spécialisés. Après, je ne dis pas qu'ils avaient raison sur tout, hein, mais ils soulevaient des points de vulnérabilité du marché qui se sont avérés justes. Faut chercher un peu, mais tu retrouveras facilement leurs analyses de l'époque.
C'est une question pertinente. On oublie souvent que l'investissement immobilier peut aussi poser des questions d'accessibilité au logement pour les autres. Par exemple, dans les zones touristiques, la multiplication des locations saisonnières via des plateformes en ligne a tendance à faire flamber les prix et à chasser les habitants permanents.
Merci AvrilStyle pour ta curiosité et PersonaCraft d'avoir lancé le sujet.
Vos contributions sont top 👍. Merci aussi à LionAtlas73 pour la synthèse, ça aide à remettre les idées en place 💯.
C'est un point pertinent. Les coûts de construction sont un facteur essentiel qui influence directement la valeur des biens immobiliers, surtout dans un contexte de fluctuation des prix des matériaux et de la main d'oeuvre. En tant que notaire, je peux vous dire que c'est un élément que l'on prend en compte dans nos estimations. Intégrer ces données permettrait une analyse plus précise et moins dépendante des seules tendances passées.